"Alternant sarabandes énergiques et rêveries lancinantes, DakhaBrakha – dont le nom signifie « donner/prendre » en ukrainien – définit son style comme un « chaos ethnique ». Rien de guerrier là-dedans, mais une ambition festive et culturelle faisant couler le fleuve Dniepr à travers les continents. Lui en tunique noire, elles en longues robes blanches, riches colliers et hauts chapeaux, versions fantasmées des coiffes cosaques. Si les polyphonies aiguisées des demoiselles s'enracinent dans l'authenticité ancestrale, rythmes et instrumentation (violoncelle, djembé, accordéon, clavier...) troublent repères et frontières pour des transes empruntées à l'Orient, à l'Afrique , à l'Inde autant qu'aux Balkans." LE MONDE
"Un bel envoûtement, l’hallu totale un vrai choc durable, la sensation d’avoir trouvé une musique tradi-moderne, à la fois ancestrale (les instruments, les polyphonies traditionnelles) et neuve (les rythmes de transe, l’influence du hip-hop). De la musique pechno, tribale et hors du temps, aussi bonne qu’une rave dans un champ au milieu de nulle part, et au cœur de tout." LES INROCKS
"Le groupe ukrainien Dakhabrakha constitue l'une des plus surprenantes performances des Trans Musicales. Les Dakhabrakha font figure de grands manitous d'Europe de l'Est. Les voix se mélangent, s'entrelacent, fusionnent pour créer un chant incroyablement beau et puissant. " LE FIGARO
"Intrigué par leurs costumes traditionnels – longues robes blanches et toques de fourrure pour elles, robe de prêtre orthodoxe pour lui -, le public des Transmusicales est resté pour les voix puissantes qui s’entremêlent, les coups d’archet rageurs et les douces accalmies. Il a communié pendant une heure avec la cause ukrainienne du moment, colportée par un groupe qui à lui seul porte toute l’ouverture progressiste que les manifestants de la place de l’Indépendance réclament."LIBÉRATION
"Polyphonies blanches et lancinantes, instrumentation minimaliste portée par une énergie tribale et une pointe de psyché : entre transe folk et rébellion politique, ces barbares slaves venus d’Ukraine en ont sous la haute coiffe traditionnelle." TÉLÉRAMA